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19/12/2009

MILI BALAKIREV

Mili Balakirev

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mili Balakirev

Naissance

2 janvier 1837
Nijni Novgorod,  Russie

Décès

29 mai 1910
Saint-Pétersbourg,  Russie

Activité principale

Compositeur

Collaborations

Groupe des Cinq

Mili Alekseïevitch Balakirev (en russe : Милий Алексеевич Бала́кирев) est un compositeur russe né à Nijni Novgorod le 2 janvier 1837 et mort à Saint-Pétersbourg le 29 mai 1910.

Biographie [modifier]

Années de formation [modifier]

Né de parents peu fortunés, il est attiré dès l'enfance par la musique mais ne disposant que de très peu de ressources matérielles, il ne pourra prendre en tout que dix leçons de piano auprès d'un remarquable professeur, Alexandre Dubuque (Dubuc). À seize ans, il fait la connaissance d'Alexandre Oulybychev, riche mélomane auteur de la première biographie de Mozart qui dispose d'un orchestre réduit. Il confie à Balakirev des travaux de copie, d'arrangements puis finalement la direction de son orchestre. De manière purement empirique mais avec beaucoup de facilité, le jeune musicien parvient à acquérir les bases de son futur métier de compositeur. Il dissèque les partitions des grands maîtres, les étudie minutieusement. En 1855, il aura l'occasion de rencontrer Mikhaïl Glinka, grand musicien précurseur de la musique russe. Sa vocation est alors toute tracée.

 

Tombe de Balakirev au cimetière Tikhvine de Saint-Pétersbourg.

Le groupe des cinq [modifier]

Fort de toutes ces connaissances, il gagne Saint-Pétersbourg et s'entoure d'un groupe de musiciens autodidactes comme lui qui deviendra le fameux Groupe des Cinq composé de César Cui, Modeste Moussorgski, Alexandre Borodine et Nikolaï Rimski-Korsakov. Balakirev est l'âme de ce groupe même s'il n'en est pas le meilleur compositeur. En général, il supervise et, le cas échéant, corrige le travail de ses amis compositeurs. Ce groupe s'impose sur la scène musicale russe dès 1860. Malgré une autorité et une « aura » certaines, il sera lâché « par sa couvée » selon sa propre expression. Le groupe est dissous en 1870.

Un compositeur peu prolifique [modifier]

Il se consacre alors à l'organisation de concerts qui sont autant de fiascos. Par dépit, il devient chef de gare pendant cinq ans et ne compose plus entre 1872 et 1876.

À partir de 1862, il parcourt le Caucase et la Crimée et compile nombre de pages de musique folklorique. La même année, il refuse la direction de la Société musicale russe et fonde à Saint-Pétersbourg une école de musique. De 1883 à 1894, il est directeur de la Chapelle impériale de Saint-Pétersbourg, avec Nikolaï Rimski-Korsakov comme assistant. C'est pendant ces années qu'il reconstitue un groupe musical dont le membre le plus éminent sera Sergueï Liapounov.

Bien que très exigeant vis-à-vis de ses camarades, Balakirev compose très lentement. Il mettra ainsi près de quinze ans à écrire Tamara, un poème symphonique dont l'interprétation dure environ vingt-cinq minutes. Sur le plan musical, il laisse néanmoins un catalogue important. Tamara, terminée en 1882, est sa plus grande composition avec Islamey. Islamey est d'ailleurs considérée par un grand nombre de pianistes et de musicologues comme l'œuvre pianistique la plus difficile à jouer au niveau technique. Toutes ces pièces sont dans le prolongement de l'œuvre de Glinka.

Œuvres principales [modifier]

Pour orchestre seul [modifier]

  • Ouverture sur le thème d'une marche espagnole, op. 6 (1857, révisée en 1886)
  • Ouverture sur trois thèmes russes (1858)
  • Seconde ouverture sur des thèmes russes dite "1000 ans" (1864, révisée comme poème symphonique sous le titre "Russie" en 1884)
  • Ouverture tchèque (1867, révisée poème symphonique sous le titre "En Bohème" en 1905)
  • Symphonie n° 1 en ut majeur (1864-1866)
  • Poème symphonique Tamara (1867-1882)
  • Symphonie n° 2 en ré mineur (1900-1908)
  • Suite en Ré mineur sur 4 pièces de Chopin (1909)
  • Suite en Si majeur (1909 inachevée et terminée par Liapounov)
  • Islamey (1869 pour piano, orchestré par Liapounov)

Pour piano et orchestre [modifier]

  • Fantaisie pour piano, op. 4 : cette pièce, considérée comme une des plus difficiles du répertoire, est une des rares œuvres encore jouées de nos jours.
  • Concerto pour piano n° 1 en fa dièse mineur, op. 1 (1855-1856)
  • Concerto pour piano n° 2 en mi bémol majeur, op. posthume (1861-1862 puis 1906-1910, achevé par Liapounov))

Autres compositions [modifier]

Il a également composé une musique de scène pour le Roi Lear, un grand nombre de valses, nocturnes, scherzos, mazurkas pour le piano.

Liens externes [modifier]

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Mili Balakirev.

 

19:32 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

17/12/2009

EGOR GAIDAR 2

Egor Gaïdar, ancien premier ministre russe

LE MONDE | 17.12.09 | 15h23  •  Mis à jour le 17.12.09 | 15h23

Ancien premier ministre russe, architecte de la transition économique du pays au début des années 1990, Egor Gaïdar est mort d'une embolie mercredi 16 décembre à l'aube. Il était âgé de 53 ans. Les suites d'un accident vasculaire lui ont été fatales. "Il travaillait à l'écriture d'un livre " dans sa résidence d'Odintsovo à quelques kilomètres de Moscou, a déclaré son porte-parole Valeri Natarov.

 

Dates clés

19 mars 1956
Naissance à Moscou.

1978
Ecrit dans la "Pravda".

1991
Ministre des finances.

1992
Premier ministre par intérim de juin à décembre.

1993
Vice-premier ministre et ministre des finances.

2006
Publie "La Chute d'un empire".

16 décembre
Mort à Odintsovo (Russie).

Nécrologie Egor Gaïdar, ancien premier ministre russe

Dans un message de condoléances, le président Dmitri Medvedev a salué "un économiste de haute volée, un homme d'Etat dont le nom restera associé à la création de l'économie de marché". Acquis aux idées libérales, disciple des économistes de l'école de Chicago (Milton Friedman et Frédérick von Hayek), Egor Gaïdar fut choisi par le président russe de l'époque, Boris Eltsine, pour diriger le ministère russe des finances en novembre 1991, quelques semaines avant la fin de l'URSS.

Le 15 juin 1992, Boris Eltsine le choisit comme premier ministre "par intérim" : il ne reçut jamais l'aval du Parlement. Les députés, majoritairement conservateurs, refusèrent d'entériner la nomination de celui que beaucoup considéraient comme un "Chicago boy en culottes courtes", proposé pour mener les réformes. Impopulaire, le père de la "thérapie de choc" fut congédié le 15 décembre 1992 et remplacé par Viktor Tchernomyrdine, un apparatchik plus consensuel.

De son passage au gouvernement, il dira plus tard : "C'était à peu près comme si, une fois dans l'avion, j'avais ouvert la porte du cockpit pour découvrir qu'il n'y avait personne aux commandes."

Egor Gaïdar est rappelé au gouvernement en septembre 1993 après le bombardement à l'artillerie du Parlement russe où les députés "rouges-bruns" (communistes nationalistes) s'étaient retranchés.

Il travailla comme premier vice-premier ministre et ministre de l'économie jusqu'à sa démission en janvier 1994. Déçu par son "patron" Boris Eltsine, à qui il reprocha ses trop grandes concessions envers les conservateurs, il fut ensuite élu député pour l'Union des forces de droite, une formation libérale qui tomba en désuétude après 2004. C'est depuis le Parlement qu'il critiqua l'assaut, ordonné par Boris Eltsine, des chars russes sur la Tchétchénie, en décembre 1994. Il restera toutefois fidèle au premier président russe, appelant à voter pour lui lors de l'élection présidentielle en 1996.

Ses réformes ont conduit à la levée des contrôles de l'Etat sur les prix et sur la monnaie, à la libéralisation du commerce et aux privatisations controversées, quelques oligarques triés sur le volet s'emparant des joyaux industriels du pays. Sa politique économique a tracé les contours du projet libéral russe pour vingt ans mais elle lui a valu aussi d'être détesté de la population, mécontentée par la chute de son niveau de vie.

Egor Gaïdar est né à Moscou le 19 mars 1956 dans une famille de l'intelligentsia. Son grand-père, Arkadi Gaïdar, était un célèbre écrivain pour enfants. En 1978, une fois son diplôme d'économie en poche, Egor Gaïdar a travaillé pour la Pravda, le quotidien du Parti communiste et pour sa revue théorique Le Communiste. Il a ensuite effectué ses premiers pas d'économiste sous la conduite de Stanislav Chataline, l'un des artisans de la perestroïka lancée par Mikhaïl Gorbatchev, le dernier secrétaire général du Parti communiste de l'URSS.

Plus tard, dans un livre intitulé La Chute d'un empire, publié en 2006, il s'est efforcé d'expliquer les mécanismes qui ont conduit à l'écroulement du système. L'URSS, s'efforçait-il de démontrer, s'est effondrée pas tant à cause de la rigidité de l'économie planifiée que parce que son principal produit d'exportation, le baril de pétrole, a atteint alors son plus bas niveau (10 dollars le baril en 1986).

Aux abois, les autorités ont été contraintes de recourir à des emprunts auprès de banques étrangères. Les mains liées par ces emprunts, la direction soviétique n'a pas pu avoir abondamment recours à la force quand les premiers mouvements nationalistes ont commencé à émerger, dans les républiques baltes et au Caucase, de peur de se voir couper les vivres.

Egor Gaïdar dirigeait ces dernières années l'Institut de l'économie en transition. Volontiers critique de la politique de Vladimir Poutine, il n'a jamais rejoint les rangs de l'opposition, contrairement à sa fille, Maria, farouche opposante.

En décembre 2006, Egor Gaïdar a été foudroyé par un violent malaise lors d'un voyage en Irlande pour la présentation de son livre. Son malaise intrigua d'autant plus qu'il se produisit au lendemain du décès à Londres de l'ex-agent russe Alexandre Litvinenko, assassiné à l'aide d'une substance radioactive.

L'ancien premier ministre affirma avoir été lui aussi empoisonné, se disant victime "d'ennemis de la Russie".

22:40 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

16/12/2009

EGOR GAIDAR

Décès d'Egor Gaïdar, l'architecte de la transition russe

il y a 41 min    16 12 09

Gleb Brianski

L'économiste Egor Gaïdar, architecte de la conversion de la Russie à l'économie de marché dans les années 1990, est mort mercredi à l'âge de 53 ans. Lire la suite l'article

Discussion: Russie

Gaïdar, que Boris Eltsine avait nommé commissaire chargé des réformes, avait lancé la première vague de privatisations en Russie postsoviétique et mis fin en 1992 à la politique de contrôle des prix.

La "thérapie de choc" dont il avait été l'inspirateur lui avait valu le soutien de l'Occident mais aussi une très forte impopularité en Russie, où des millions de personnes sombrèrent dans la pauvreté.

Egor Gaïdar est mort dans sa datcha près de Moscou, victime d'une embolie, a précisé sa porte-parole. Il ne s'était pas plaint récemment d'ennuis de santé, a-t-elle ajouté.

"C'était un grand homme, un grand scientifique et un grand homme d'Etat", écrit sur son blog Anatoli Tchoubaïs, qui l'avait aidé à mettre en oeuvre ses réformes. "La Russie a une chance énorme d'avoir eu un Gaïdar dans l'un des pires moments de son histoire. Au début des années 1990, il a sauvé le pays de la famine, de la guerre civile et de l'effondrement", ajoute Tchoubaïs, qui s'est reconverti dans les affaires.

Né en mars 1956, issu d'une grande famille russe, petit-fils d'un chef militaire bolchévique, Egor Gaïdar avait été diplômé en sciences économiques de l'université de Moscou en 1978 et avait fait ses premières classes sous la conduite de Stanislav Chataline, un des inspirateurs de la "pérestroïka" mise en oeuvre à la fin des années 1980 par Mikhaïl Gorbatchev.

Journaliste économique, il avait travaillé pour la Pravda, le quotidien du Parti communiste, et pour la revue théorique du parti avant d'être nommé en 1991 à la présidence de l'Académie de l'industrie de l'Union soviétique, qui vivait alors ses derniers mois.

Fin 1991, à 35 ans, il avait été propulsé conseiller de Boris Eltsine puis vice-Premier ministre. C'est de ce poste qu'il avait piloté la "thérapie de choc", programme de libéralisation de l'économie russe lancé en janvier 1992.

"CABINET KAMIKAZE"

"L'Union soviétique était en faillite en 1991 - les caisses étaient vides. C'était bien fini et je savais que je devais m'en occuper", avait-il déclaré dans une interview à Reuters en 2006.

Mais sa politique de libre fixation des prix s'était accompagnée d'une forte inflation dont des millions de Russes allaient être les victimes. Le rouble avait décroché face au dollar et le déficit budgétaire avait enflé. Gaïdar et les jeunes collaborateurs qui l'entouraient avaient rapidement gagné le surnom de "cabinet kamikaze".

En décembre 1992, Eltsine le limogeait.

22:22 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

15/12/2009

article de l'express

 Rien ne va plus dans la police russe

Par Axel Gyldèn, Alla Chevelkina, publié le 15/12/2009 à 13:00

·          

 

Entre bavures, vodka et pots-de-vin... La police russe ressemble de plus en plus à un bateau ivre. Au propre comme au figuré.

Il est l'homme par qui le scandale arrive. Au début du mois dernier, l'officier de police Alexei Dymovsky diffuse sur Internet une vidéo de dix minutes dans laquelle il interpelle le Premier ministre Vladimir Poutine. Sanglé dans son uniforme gris-bleu, il dénonce les conditions de travail épouvantables et la corruption débridée au sein de la police russe.

Limogé mais écouté

Après dix années passées à la tête d'une unité de Novorossiysk, un port sur la mer Noire, il précise qu'il ne supporte plus d'avoir à élucider des enquêtes fictives ni à arrêter des innocents dans l'unique but de satisfaire à la "culture du résultat". L'officier évoque ces jeunes recrues qui affirment que le maigre salaire (12 000 roubles, soit 279 euros) "ne [les] rebute pas car [elles comptent] sur les pots-de-vin". Aussitôt, l'obscur officier est limogé, mais il accède à la célébrité. Un million de Russes ont déjà visionné son témoignage. Deux jours après l'avoir mis en ligne, il donnait à Moscou une conférence de presse hypermédiatisée.

Pour les uns, Dymovsky est un traître. Mais, pour la plupart, il est celui qui brise le mur du silence. Par effet domino, d'autres policiers ont depuis révélé les dysfonctionnements de l'institution policière. Au commissariat n°27 de Saint-Pétersbourg, plusieurs gardiens de la paix ont récemment été arrêtés après une opération d'extorsion portant sur 25 millions de roubles (580 000 euros). Malgré cela, le sentiment d'impunité demeure. Combiné à l'alcoolisme, il fait des ravages.

Des bavures, alcoolisées, sordides

Le 26 novembre, un malheureux en garde à vue a été frappé à mort dans un commissariat de Saint-Pétersbourg. Quatre jours plus tôt, à Moscou, un homme originaire d'Abkhazie a subi un passage à tabac mortel, dans la rue et en plein jour, sous le regard horrifié des passants. Le pire drame est survenu en avril dernier. Une fusillade avait alors éclaté dans un supermarché moscovite, faisant deux morts et sept blessés. Son auteur? Le chef d'un commissariat de Moscou, complètement saoul.

Cette année, le nombre de crimes commis par des policiers a augmenté de 16%. Résultat: le ministre de l'Intérieur a déclaré il y a peu que les Russes étaient fondés à se défendre en cas d'abus de pouvoir de la police. Une promotion de l'autodéfense plus inquiétante que rassurante.

  PS  article de l'express du 15 12 09. pour ma part , je ne porte aucun  jugement et quoiqu'il en soit la corruption existe partout et y compris en FRANCE  et elle ne date pas d'hier......

 

18:24 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

10/12/2009

russie : cooperation internationale

Actu économique

Projet d'avion russe MS-21: coopération avec des équipementiers occidentaux (société)

Projet d'avion russe MS-21: coopération avec des équipementiers occidentaux (société)
14:05 10/12/2009
© flickr.com/ araswami
MOSCOU, 10 décembre - RIA Novosti

L'américain Pratt&Whitney a remporté l'appel d'offres sur la livraison de moteurs pour le nouvel avion de ligne russe MS-21 dont le projet est développé depuis 2007 par Irkut (Sibérie) conjointement avec le bureau d'études Yakovlev (Yak), a annoncé jeudi le constructeur aéronautique.

Selon la société, "la participation d'équipementiers russes à la conception du moteur pour le MS-21 est prévue". Des moteurs entièrement fabriqués en Russie seront utilisés dans la construction de ces appareils, a précisé Irkut.

Côté avionique, la société a privilégié l'offre du russe Avionika et de l'américain Rockwell Collins. La proposition du russe Aviapribor-Holding, du français Goodrich SA et de l'américain Rockwell Collins a été retenue pour développer le système de commande de l'avion.

Le projet d'avion à fuselage étroit MS-21 est un programme prioritaire du Groupe aéronautique unifié russe (OAK). Cet appareil sera constitué à 40% de matériaux composites les plus récents.
 
La famille des moyens courriers MS-21 (3.500 à 5.500 km) comportera des avions de 150, de 181 et de 212 sièges. Avec le SuperJet-100, dont la construction a déjà commencé, le MS-21 sera en mesure de couvrir plus de 80% des besoins des compagnies aériennes russes en appareils neufs.

 

L'usine Peugeot de Kalouga lancée au printemps 2010

 

Peugeot

15:16 03/12/2009

© REUTERS/ Denis Balibouse

MOSCOU, 3 décembre - RIA Novosti

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Multimédia

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Le constructeur automobile français Peugeot a l'intention de lancer son usine à Kalouga (sud-ouest de Moscou) au printemps 2010, a annoncé jeudi aux journalistes le PDG de Peugeot-Russie François Poirier.

"Pour nous, la Russie est un marché prioritaire et nos investissement à Kalouga en sont la  meilleure preuve. Nous avons l'intention de sortir la première auto construite à Kalouga au printemps 2010", a déclaré M.Poirier en précisant qu'il s'agissait de la Peugeot 308.

Auparavant, on a appris que l'alliance Peugeot-Citroën investissait dans l'usine de Kalouga 300 millions d'euros. La capacité de production attendue est de près de 100.000 automobiles par an, permettant d'employer près de 3.000 ouvriers.

M.Poirier a annoncé l'intention du groupe de doubler par rapport à 2009 ses ventes en Russie en portant la quantité de voitures vendues à 48.000. Selon le PDG, ce sera possible grâce au lancement de l'usine de Kalouga ainsi qu'à l'apparition de nouveaux modèles.

 

20:18 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

04/12/2009

D MEDVEDEV AU VATICAN

JE CITERAI VOLONTIERS STALINE " LE VATICAN ,COMBIEN DE DIVISIONS "

Le président russe reçu par le Pape Benoît XVI au Vatican

Dossier: Le président Medvedev en visite en Italie

Le président russe reçu par le Pape Benoît XVI au Vatican

22:33 03/12/2009

© POOL

VATICAN, 3 décembre - RIA Novosti

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Le président russe Dmitri Medvedev a rencontré jeudi le Pape Benoît XVI et le secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Tarcisio Bertone lors d'une brève visite au Vatican.

Le chef de l'État russe a été accueilli par les gardes suisses du Pape et le préfet de la Maison pontificale James Michael Harvey devant le Palais apostolique. Il est monté au premier étage du Palais avant de rejoindre le secrétaire d'État du Vatican.

Le Souverain pontife a reçu le président russe dans sa Bibliothèque privée. Ils ont eu un tête-à-tête et ont échangé de cadeaux. M.Medvedev a offert au Pape une boîte laquée représentant la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou, la principale cathédrale russe, ainsi que 22 volumes de l'Encyclopédie chrétienne orthodoxe. Il a rappelé que Vladimir Poutine, à l'époque chef de l'État russe, avait déjà fait don de plusieurs volumes de cet ouvrage au Souverain pontife.

Le Pape Benoît XVI a, pour sa part, offert au président Medvedev le premier exemplaire de sa dernière encyclique "L'Amour dans la Vérité" traduite en russe, une lithographie de Giovanni Lorenzo Bernini datant de XVIIe siècle et une médaille représentant le profil du Pape.

La Russie établira les relations diplomatiques avec le Vatican (officiel)

Dossier: Le président Medvedev en visite en Italie

 

Vatican

20:39 03/12/2009

© RIA Novosti Rusalina Dmitrieva

MOSCOU, 3 décembre - RIA Novosti

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La Russie établira les relations diplomatiques avec le Vatican et sa représentation au Vatican sera transformée en ambassade, conformément au décret signé par le président russe Dmitri Medvedev, a annoncé jeudi le service de presse du Kremlin.

"Le ministère russe des Affaires étrangères a été chargée de lancer des entretiens avec le Vatican sur l'établissement des relations diplomatiques", est-il indiqué dans le décret publié par l'administration présidentielle.

Le président russe Dmitri Medvedev effectue actuellement une visite officielle en Italie.

 

17:58 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

03/12/2009

FAUX DIPLOMES RUSSES

01/12/2009 18:45

En Russie, les faux diplômes gangrènent le système éducatif



Environ 500 000 faux certificats seraient vendus chaque année dans le pays

Dans un passage sous- terrain entre deux stations de métro, une dame tient une petite affiche en vieux carton avec l’inscription « Diplômes ». La scène n’a rien d’étonnant en Russie, où environ 500 000 faux diplômes seraient vendus chaque année. Sur Internet, les vendeurs ne font montre d’aucune gêne éthique. « Acheter un diplôme est plus avantageux, puisque, en étudiant quelques années, on n’obtient pas toujours la formation nécessaire pour obtenir un bon emploi. En plus d’économiser du temps, vous dépenserez beaucoup moins d’argent et userez moins vos nerfs en commandant un diplôme », peut-on lire sur le site kyplu-diplom.com («jacheteundiplome.com »), l’un des nombreux à offrir un service du genre.

Pour une somme variant entre 240 et 675 €, le client devient ainsi comme par magie ingénieur nucléaire, médecin, ou comptable en quelques jours ouvrables. Parmi ces fausses attestations, 100 000 seraient émises annuellement par des employés des institutions d’éducation. Un diplôme avec la signature du recteur, les sceaux officiels et une inscription dans les dossiers de l’université se monnaie entre 13 500 et 33 800 €.

Sergueï Komkov, directeur du Département de la lutte contre la corruption du centre Sécurité complexe de la patrie, rattaché à la Douma, évalue le marché des faux diplômes universitaires en Russie à 1,6 milliard d’euros par an. Au cours des dernières années, le nombre de places gratuites dans les universités russes a sans cesse diminué. L’accès à l’éducation supérieure devenant plus dispendieux, la tentation d’acheter un diplôme à rabais n’a fait qu’augmenter.

Les places se monnaient

Les places à l’université aussi se monnaient. L’an dernier, 80 % des Russes estimaient que l’entrée dans une institution supérieure était avant tout déterminée par l’argent et les liens des parents avec l’administration, selon un sondage du Centre Levada. Seulement 17 % croyaient que les connaissances de l’étudiant lui garantiraient une admission. Sergueï Komkov, qui était directeur d’école à l’époque de l’Union soviétique, assure que le problème n’était pas aussi criant alors.

Même si la Russie est signataire du processus de Bologne, qui vise à harmoniser les différents systèmes d’éducation supérieure européens, l’attestation russe n’a aucune valeur hors de ses frontières. Les présumés finissants doivent prouver leur compétence et obtenir un diplôme d’équivalence dans leur pays d’accueil.

Pour Sergueï Komkov, c’est en Russie même que les conséquences les plus graves se font sentir. « Prenez l’accident au barrage de Saïano-Chouchenskaïa (17 août, 75 morts). C’est un exemple d’incompétence technique. Les étudiants sortent du système à moitié compétents. Vous imaginez quel malheur ça représente pour le pays ! »

Détruire de l'intérieur les mécanismes de la corruption

D’autant qu’un vrai diplôme est loin d’assurer que son détenteur maîtrise sa spécialité : à l’intérieur d’un cursus scolaire normal, il arrive que plusieurs étudiants fortunés ne se présentent pas aux examens et paient simplement les professeurs pour obtenir de bons résultats. Souvent, ce sont les enseignants eux-mêmes, mal payés, qui le proposent.

En poste depuis moins d’un an, Sergueï Komkov admet qu’enrayer la corruption dans le système d’éducation, avec une équipe d’une douzaine de subordonnés, est une tâche colossale. Surtout dans un pays où elle n’a fait qu’augmenter depuis le début de la décennie, malgré les promesses du président Vladimir Poutine, puis de son successeur Dmitri Medvedev. Son plan : « détruire de l’intérieur » les mécanismes de la corruption en s’attaquant à quelques institutions et fonctionnaires qu’il pourra ensuite brandir en exemple.

 

 

Frédérick LAVOIE, à Moscou  - LA CROIX

19:44 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (2)

01/12/2009

blogueurs dans" courrier international"

01.12.2009

Blogueurs de toutes les Russies syndiquez-vous !

Défendre ses droits et ses libertés en tant que blogueur n'est pas une mince affaire en Russie. Pour ce faire un syndicat a été créé dans la blogosphère russe avec pour ambition de fédérer la communauté autour d'un Manifeste.


Publié le 27 novembre 2009, le Manifeste du Syndicat des blogueurs russes proclame la défense de la liberté d'expression, d'entreprise, de diffusion d'informations, de création artistique, et de réunion ainsi que le respect des droits d'auteur et d'archivages de contenu. Détail d'importance, le syndicat affirme son indépendance de tout parti ou mouvement politique.

Au-delà de l'observation de ces principes, l'adhésion au syndicat reste informelle. Tous les blogueurs russophones en font virtuellement partie. Pas de chef, ni de structures représentatives sinon les pages communautaires ru_blogger sur la plateforme russe de blogs Jivoï Journal où le Syndicat des blogueurs russes se présente comme « un espace d'action civile efficace ».

A l'origine de cette initiative se trouve Oleg Kozyrev. Jeune écrivain et scénariste moscovite, il est un acteur talentueux et reconnu de la Toile russe pour ses œuvres humoristiques à l'instar de la série de vidéos satiriques « Roulitiki » sur le tandem Medvedev-Poutine diffusée le site du quotidien libéral Ejenedelny Journal.

Dans une interview accordée à l'agence d'investigation journalistique « Federalny Reporter » Oleg Kozyrev donne quelques détails sur la genèse du syndicat fondé conjointement avec le blogueur Viktor Korb d'Omsk.

Les premières velléités de mobilisation solidaire des blogueurs russes se sont manifestées quand la plateforme Jivoï Journal a voulu imposer des publicités sur les comptes gratuits. En guise de protestation, les blogueurs russes ont fait grève et obtenu gain de cause.

Mais les menaces les plus virulentes frappent les blogueurs non pas collectivement mais individuellement dans le cadre d'affaires judiciaires. Savva Terentiev a été le premier blogueur russe condamné à une peine de prison avec sursis pour avoir envoyé un commentaire. (Voir cette note)

En revanche, le Tatar Irek Mourtazine n'a pas échappé à la prison ferme. Le 26 novembre, ce journaliste et ancien porte-parole du président du Tatarstan Mintimer Chaïmev a été condamné par un tribunal de Kazan, la capitale de cette république, à 21 mois de détention dans une colonie pénitentiaire. Il est "le premier blogueur de Russie en prison" souligne le Syndicat qui demande sa libération.

Il a été reconnu coupable de « diffamation », d'« incitation à la haine » contre l'administration et d'« atteinte à la dignité humaine ». Son crime : avoir annoncé en septembre 2008 la mort en vacances en Turquie du président tatar âgé de 71 ans. Une fausse rumeur lancée initialement sur un forum Internet. (Voir cette note)

Selon Oleg Kozyrev, la défense des blogueurs russes condamnés par la justice figure au cœur des actions du syndicat. Sur son blog, il ébauche quelques pistes pour l'organiser concrètement dans les affaires judiciaires, en matière législative ou dans les relations avec les médias, les organisations publiques, les partis politiques etc.

Oleg Kozyrev n'exclut aucun blogueur russe et confie qu'il a prévu personnellement d'inviter le plus illustre d'entre eux, Dmitri Medvedev président de Russie. (Voir cette note

18:03 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

29/11/2009

coopération franco-russe

Hautes technologies: le russe Rostekhnologuii et le français Safran signent un mémorandum

Dossier: Vladimir Poutine en France

 

© RIA Novosti Alexey Druzhinin

MOSCOU, 27 novembre - RIA Novosti

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Un mémorandum sur la coopération dans les hautes technologies a été signé vendredi par le holding russe Rostekhnologuii et le groupe français Safran dans le cadre de la visite du premier ministre russe Vladimir Poutine en France, a annoncé le service de presse de Rostekhnologuii.

Le mémorandum est appelé à formuler les principes clés de la coopération russo-française dans l'utilisation des hautes technologies civiles et militaires, notamment concernant les moteurs pour hélicoptères civils Ka-226, Ka-62 et Mi-34.

Le PDG de Safran Jean-Paul Herteman et le directeur général de Rostekhnologuii Sergueï Tchemezov ont apposé leurs signatures au bas du document en présence des premiers ministres des deux pays, François Fillon et Vladimir Poutine.

Le holding Rostekhnologuii a été créé le 23 novembre 2007 pour soutenir les concepteurs nationaux des produits technologiques et pour attirer des investissements dans les hautes technologies.

Safran Group se spécialise dans les moteurs pour avions et vaisseaux spatiaux, les équipements aéronautiques, la défense et la sécurité. Le groupe emploie 54.500 personnes dans plus de 30 pays. Il comprend entre autres la société Snecma qui a créé une coentreprise Powerjet avec le groupe russe Saturn pour

AvtoVAZ: 5 nouveaux modèles dans deux ans (Rostekhnologii)

 

AvtoVAZ

20:44 27/11/2009

© RIA Novosti Sergei Berezin

RAMBOUILLET, 27 novembre - RIA Novosti

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Le géant russe AvtoVAZ, dont le groupe français Renault détient 25%, lancera en 2011-2012 dans le cadre du programme de restructuration de nouveaux modèles de véhicules, dont deux Renault, deux Lada et une Nissan, a annoncé le directeur de la corporation Rostekhnologii Sergueï Tchemezov.

"L'usine lancera deux modèles de Lada, deux modèles portant le logotype de Renault et un celui de Nissan", a indiqué le directeur, avant d'ajouter que la proportion d'automobiles de marque Lada constituera 70% de la production d'AvtoVAZ.

Vendredi, AvtoVAZ, Renault, Rostekhnologii et Troïka dialog ont signé un accord d'intention sur les modalités de restructuration du constructeur automobile russe.

D'après les estimations de la direction du groupe, les dettes d'AvtoVAZ atteindront à la fin de l'année 75 milliards de roubles (2,5 milliards de dollars). Le protocole conclu prévoit que la Russie offrira au groupe une aide financière et recevra en échange des technologies de Renault.

Novatek-Total: production conjointe de gaz à Iamal

 

Novatek-Total: production conjointe de gaz à Iamal

17:38 27/11/2009

© www.mortgagem.com

RAMBOUILLET, 27 novembre - RIA Novosti

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Le producteur indépendant russe de gaz Novatek et le groupe français Total ont signé un accord sur la création d'une coentreprise spécialisée dans la mise en valeur d'un gisement de condensat de gaz dans la péninsule de Iamal (région arctique), rapporte un correspondant de RIA Novosti.

Le document a été signé par le directeur général de Total Christophe de Margerie et le représentant du Conseil d'administration de Novatek Leonid Mikhelson en présence du premier ministre russe Vladimir Poutine qui effectue en ce moment une visite de travail en France.

Fondé en 1994, le groupe Novatek est le plus grand producteur de gaz naturel en Russie après Gazprom.

 

16:59 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

20/11/2009

AIVAZOVSKI PEINTRE RUSSE

http://vuedumonde.hautetfort.com/media/02/00/5111076.jpghttp://vuedumonde.hautetfort.com/media/02/01/1391451238.jpghttp://vuedumonde.hautetfort.com/media/00/01/833246964.jpghttp://vuedumonde.hautetfort.com/media/02/00/67559475.jpghttp://vuedumonde.hautetfort.com/media/02/00/1645967822.jpghttp://vuedumonde.hautetfort.com/media/01/01/1497862696.jpghttp://vuedumonde.hautetfort.com/media/01/00/1968262257.jpghttp://vuedumonde.hautetfort.com/media/01/00/1199837907.jpghttp://vuedumonde.hautetfort.com/media/00/01/426469292.jpg
  IVAN AIVAZOSKI PEINTURES

18:08 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)