finis44

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/11/2011

UN PEU D HISTOIRE DE LA RUSSIE AU 13 EME SIECLE

 CI DESSOUS UN DOCUMENT QUE J AI PU TIRER DE LA VOIX DE LA RUSSIE - EX RADIO MOSCOU-

 

 

1 , IVAN KALINA Fils du prince de Moscou Daniïl Alxandrovitch et petit-fils d’Alexandre Nevski, Ivan Premier dit Kalina naquit en 1283 à Moscou. Il fit venir de Vladimir le métropolite Piotr pour s’allier les bonnes grâces de l’Église tout au début de son règne. Cette démarche transformé Moscou en un centre spirituel de la Russie et assura à son prince le soutien de l’Église. Le métropolite de Toutes les Russies élit résidence à Moscou et aida Ivan à appliquer la politique de centralisation des terres russes.

Kalita était un gouvernant à poigne, faisant preuve de persévérance dans la poursuite de ses buts. Il était en bonnes relations avec le khan tartaro-mongol Ouzbel et fit plusieurs voyages à la Horde pour gagner sa confiance et ses bonnes grâces. Pourtant, les relations pacifiques avec la Horde avaient un revers, le prince s’engageait à lever pour elle un tribut énorme et réprimaient sévèrement les mécontents. C’est également avec l’aide des Tartares qu’il supprima d’autres princes qui pouvaient le rivaliser sur le plan politique, après quoi, à en croire la chronique, une longue paix s’établit dans toute la Russie du Nord-Est.

Ivan Kalita accumula de grandes richesses, d’où son surnom Kalita (la bourse) qui s’explique sans doute par son habitude de porter la bourse pour distribuer les aumônes aux pauvres. Ivan s’employait à élargir le territoire de sa principauté et à rassembler les terres russes autour de Moscou. Il utilisait les richesses accumulées pour l’acquisition des apanages de ses voisins.

Les années de son règne étaient celles de renforcement de Moscou et de son rayonnement sur les autres cités russes. Il y fit construire un Kremlin en bois de chêne pour protéger tant le centre-ville que sa banlieue. Il fit également édifier à Moscou les cathédrales de la Dormition et de l’Archange Saint-Michel. Les chroniqueurs notaient que le prince se préoccupait de la sécurité de la ville, châtiait sévèrement les brigands et les voleurs, pratiquait invariablement « une justice équitable » et aidait les pauvres et les miséreux.

Ses activités suscitaient des réactions mitigées auprès des historiens mais il faut avouer qu’elles ont contribué à jeter les fondements de la puissance politique et économique de Moscou tout en facilitant le début de l’essor économique de la Russie.

A la mort d’Ivan, le trône grand-princier était régulièrement occupé par ses héritiers en ligne droite. Son règne ouvre l’époque d’autocratie. Ivan Kalita a été enseveli dans la cathédrale d’Archange Saint-Michel au Kremlin.

2 )  ALEXANDRE NEVSKI  Voilà un nom qui a profondément marqué l’histoire de la Russie. Auréolé de gloire militaire et devenu une légende peu après sa mort, l’Église canonisa le prince. Son nom fut une source d’inspiration pour la postérité si bien qu’en 1725 fut institué l’ordre Saint Alexandre Nevski rejoint en 1942 par l’ordre  Alexandre Nevski, unique décoration soviétique portant le nom d’une personnalité du Moyen Âge russe.

Le grand sondage lancé en Russie le 28 décembre 2008 a consacré Alexandre Nevski comme «le grand nom de la Russie». Pourtant, la personnalité de ce prince est très controversée parmi les historiens. On a cru depuis des siècles qu’Alexandre Nevski avait joué un rôle exceptionnel dans l’histoire russe. Pendant cette période dramatique où la Russie devait repousser les attaques des chevaliers teutoniques au Nord-Ouest et des tartaro-mongols au Sud-Est, le prince a été considéré comme le fondateur de la lignée des souverains de Moscou et grand protecteur de l’Église Orthodoxe.

 

Alexandre remporta sa première victoire militaire à moins de 20 ans. A l'été 1240, il défit les forces suédoises pourtant supérieures numériquement sur la Neva, ce qui lui valut le surnom de «Nevski» (de la Neva).

Mais il y avait un autre ennemi dangereux: les chevaliers allemands. En 1241, Alexandre leur porta un coup foudroyant, les expulsa de Russie et récupéra la forteresse de Koporié. En hiver 1242 il libéra Pskov et le 5 avril livra à l’Ordre teutonique la bataille décisive sur les glaces du Lac des Tchoudes en battant les Croisés à plates coutures.

Enfin, la troisième menace émanait de la Horde tataro-mongole, alors au comble de sa puissance. Alexandre choisit  de la contrer par la voie diplomatique. Le prince alla quatre fois à la Horde pour soi-disant «faire ses révérences» au khan et lui versait chaque fois des sommes énormes. Il confirmait en revanche ses droits au trône princier et sauvait ainsi les terres russes des incursions dévastatrices.

19:05 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

03/11/2011

les dettes

pour comprendre l économie russe mais aussi  le changement qui s opère  sous nos yeux

 je joins plusieurs articles  dont la pertinence me semble indiscutable.

 il s agit aussi bien  de ce que pense le Vatican  ( ce n est pas d hier qu il s entoure d experts  )

 que de VICTOR IVANTER ......russie projet 2012 par A KALIKA.docx

                                            LE SAINT SIEGE SOUHAITE...docx

                                            Conférence de Victor Ivanter - l économie russe.docx

                                            conférence v ivanter l économie russe.pdf.

 CE DERNIER DOCUMENT DE 15 PAGES PERMET   DE COMPRENDRE UN PEU L ECONOMIE RUSSE

 MAIS AUSSI  LA CRISE MONDIALE QUE NOUS TRAVERSONS ACTUELLEMENT -  ENTRE  

AUTRE DETTE CONTRACTEE SUR LE DOS DE NOS ENFANTS ET LA DEREGULATION FINANCIERE 

 ET MONETAIRE QUI A COMMENCE DANS LES ANNEES 70 -

18:32 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)