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30/10/2009

rien ne peut justifier...

Rien ne peut justifier les répressions politiques en Russie

La vie humaine est ce qu’il y a de plus précieux, et rien ne peut justifier les répressions politiques, écrit dans son blog le président russe Dmitri Medvedev. Ce message vidéo coïncide avec le Jour du souvenir des victimes des répressions politiques, marqué aujourd’hui. Selon les dernières recherches, plus de 5O millions de personnes ont fait l’objet de répressions politiques en URSS dans les années 2O-5O du siècle dernier. 1 millions ont été fusillées. Des cérémonies de souvenir se tiendront dans tout le pays et dans certaines républiques de l’ex-URSS.

30.10.2009    voix de la Russie (ruvr)

 

(c) Reuters Le président russe Dmitri Medvedev a déploré que la majorité des jeunes de son pays n'aient pas connaissance de l'ampleur des purges commis sous Staline, et il a souligné qu'il importait de ne pas oublier les crimes du passé. S'exprimant sur un blog vidéo du site www.kremlin.ru, Dmitri Medvedev met en garde contre les tentatives de "réhabilitation des responsables de l'extermination de leur propre peuple". 

MOSCOU (Reuters) - Le président russe Dmitri Medvedev a déploré que la majorité des jeunes de son pays n'aient pas connaissance de l'ampleur des purges commis sous Staline, et il a souligné qu'il importait de ne pas oublier les crimes du passé.

Les propos du chef de l'Etat, tenus à l'occasion de la journée du souvenir des répressions du temps de l'Union soviétique, surviennent, selon des défenseurs des droits de l'homme, sur fond de tentatives rampantes d'une partie de la classe politique pour redorer le blason du "petit père des peuples", notamment en en faisant avant tout le héros de la lutte contre l'Allemagne nazie.

S'exprimant sur un blog vidéo du site www.kremlin.ru, Dmitri Medvedev met en garde contre les tentatives de "réhabilitation des responsables de l'extermination de leur propre peuple".

"Voici deux ans, des sociologues ont réalisé une enquête concluant que près de 90% des jeunes Russes de la tranche 18-24 ans ne pouvaient même pas citer des noms de personnalités qui ont souffert ou péri pendant les années de répression", a-t-il dit. "Cela ne peut que nous inquiéter".

"Rien ne peut justifier les répressions", ajoute le chef de l'Etat.

La journée du souvenir aux victimes des répressions de l'ère soviétique a été décrétée en 1991 par le premier président de l'ère postsoviétique, Boris Eltsine, pour lequel il était essentiel de bien connaître les horreurs du passé si l'on voulait bâtir la démocratie.

Staline fait toutefois encore l'objet d'un débat animé en Russie, près de 20 ans après le démantèlement de l'URSS fin 1991. Pour certains, il fut un tyran particulièrement cruel qui envoya des millions de personnes à la mort et pervertit les idéaux de la révolution bolchevique.

Pour la majorité des Russes, néanmoins, Staline demeure celui qui sut faire front face à l'offensive de l'armée allemande, de 1941 à 1945, et qui transforma l'Union soviétique en une superpuissance militaire et économique.

Pour Dmitri Medvedev, les Russes doivent veiller à ce que l'on ne tente pas de réviser l'histoire de la répression.

"Nous faisons tout particulièrement attention à ce que l'on ne falsifie pas notre histoire. Pour certaines raisons, nous pensons souvent que tout se limite à refuser les tentatives de révisions des résultats de la Grande Guerre patriotique (NDLR, la Seconde Guerre mondiale)", a-t-il dit.

"Mais il est également important de ne pas permettre que le rétablissement de la vérité historique serve de prétexte pour réhabiliter ceux qui furent responsables de la répression", ajoute le numéro un du Kremlin.

18:29 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

21/10/2009

RUSSIE : économie

Russie: possible conversion des groupes publics en sociétés par actions (Medvedev)

17:33

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21/ 10/ 2009

MOSCOU, 21 octobre - RIA Novosti. Les groupes publics russes des secteurs compétitifs de l'économie russe pourraient être convertis en sociétés par actions, a déclaré mercredi le président russe Dmitri Medvedev, lors d'une rencontre avec les dirigeants de l'Union des industriels et des entrepreneurs de Russie (RSPP).

"Quant au passage des groupes publics à l'actionnariat, il faudra le faire, notamment en ce qui concerne les groupes publics qui fonctionnent dans le secteur compétitif de l'économie nationale", a indiqué M.Medvedev.

Economie de la Russie: définir la participation de l'Etat (Medvedev)

 

17:28

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21/ 10/ 2009

MOSCOU, 20 octobre - RIA Novosti. Il faut définir le volume de la participation de l'Etat dans l'économie et dresser un bilan, a annoncé mercredi le président russe Dmitri Medvedev en évoquant les projets du gouvernement concernant la privatisation.

Le président a proposé de "définir" le volume de la participation de l'Etat dans l'économie : "Nous devons dresser le bilan du volume de la participation de l'Etat et utiliser les chiffres obtenus comme points de repère pour les 10-15 années à venir", a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec la direction de l'Union des industriels et des entrepreneurs de Russie (RSPP).

"Dans la situation actuelle, nous devons comprendre et respecter les limites des points de repère� Il nous faut un pronostic précis et dresser un bilan, y compris un bilan juridique", a-t-il ajouté.

Medvedev a reconnu que ce sujet est très compliqué et a conclu qu'il est temps de réaliser une partie des propositions formulées auparavant.


16:54 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

17/10/2009

un certain regard.....

"UN REGARD SANS FRONTIERES":Le Métro et la Poste. Au micro notre correspondant en France Anton Nikolski.

Le journal Troud, édité en Russie, a fait savoir que le métro de Moscou pouvait être privatisé. Selon le journal, la direction du métropolitain avait déjà mené des pourparlers avec les investisseurs quant à la construction de nouvelles stations. Les plans de privatiser les transports publics ont par ailleurs été évoqués lors d’un Forum d’investissement tenu début octobre. La mesure s’inscrit dans le programme du gouvernement annoncé par Poutine de diminuer le nombre d’entreprises alimentés par le budget. Les moscovites n’ont, pour l’instant, manifesté aucune réaction, et on peut être sûr qu’une fois décidée la privatisation se passera sans accroc<audio>
Tout cela est très différent par rapport à ce qui se passe autour de la réforme de la Poste en France. Il y a une dizaine de jours, plus de deux millions de français ont participé à la "votation citoyenne" sur l'avenir de la Poste organisée par des syndicats, des associations et les partis de gauche. Lors de cette action, les organisateurs ont rassemblé deux millions de suffranges volontaires, qui prouvent que les français se sentent concernés et mobilisé par l’avenir de la Poste. 90% condamnent toute idée de privatisation.
Ce résultat a des conséquences assez significatives. Peu importe que la consultation n'ait revêtu aucun caractère officiel : sa portée symbolique ne saurait être contestée.
Les pétitionnaires ont marqué un point psychologiquement. Maintenant, ils demandent un référendum, qui peut être une tentative d’établir un consensus en faveur de l’abandon de toute tentative de réformer le service public. Certes, les français se méfient des réformes des entreprises publiques, parce que la réalité ne correspond pas toujours à ce qui leur a été présenté dès le départ. On l'a vu avec Gaz-de-France. Mais cette attitude ne signifie-t-elle pas une tendance au repli sur les habitudes acquises?
C’est une très bonne chose que les français ont un attachement presque affectif à la Poste qu’ils considèrent comme un service universel et de proximité et qui a joué un grand rôle dans l’unification de l’espace national. S’il y a un bureau de poste, la vie dans le coin n’est pas encore abandonnée. Le succès du film « Bienvenue ches les Ch’tis », est en partie lié au fait que c’est une histoire de postiers, qui sont des gens accueillis partout avec sympathie.
Sur ce plan, c’est particulièrement triste que les Moscovites se sentent indifférents envers l’avenir de leur métro, pourtant riche en histoire et incontournable dans le quotidien. Ou bien, ils n’ont pas encore compris la nécessité de s’exprimer sur ce qui les touche directement?
Les autorités sont partout opposés à tout mouvement de contestation ou même de consultation. Tout est souvent décidé à l’avance et il faut quasiment une épreuve sociale pour qu’il y ait un vrai changement. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut se laisser au populisme, et là les français n’ont pas souvent une défense immunitaire suffisante sous peine de perdre de compétitivité lorsque les autres vont de l’avant.
La question posée dans le cadre de la votation de début octobre, qui visait à mobiliser l'opinion contre la perspective d'une privatisation de la Poste, était ambiguë. D’une part, elle confondait privatisation avec ouverture du capital, de l’autre, elle associait, de façon implicite, l'éventualité d'une privatisation avec la remise en cause du principe d'intérêt général qui a fait de la Poste un service public. Ce n’est donc pas un dialogue tout à fait équitable.
L’immobilisme social ou trop de mouvement avec des règles improvisées, on dirait les deux faces d’une même médaille. N’est-ce pas ?

21:04 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

12/10/2009

HISTOIRE : par VOIX DE LA RUSSIE

 

Vous etes sur: www.ruvr.ru / LE MONDE COMME IL VA / En Europe

Moscou-Varsovie : Les erreurs du passé n’ empècheront pas le mouvment en avant

 

Laissons l'histoire aux historiens, — ont décidé les Premiers ministres de la Russie et la Pologne. Les raisons de la Seconde Guerre mondiale doivent être éclaircies par les spécialistes, et cela ne doit pas empêcher le mouvement en avant dans les relations de deux pays, — a déclaré Vladimir Poutine. A Varsovie a eu lieu une conférence de presse sur les résultats des négociations entre le premier ministre russe et polonais.
Pendant la conférence de presse, les journalistes s’intéressaient surtout à l’attitude de la Russie et la Pologne aux événements d’il y a 70 ans. La coopération russo-polonaise, ces derniers temps, était gâtée par la polémique autour du pacte de Molotov-Ribbentrop et les événements du début de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui, Vladimir Poutine a participé aux manifestations consacrées à cette date triste pour toute l'Europe, (le 1 septembre 1939 l'Allemagne hitlérienne a attaqué la Pologne). Le Premier ministre russe a rappelé aux journalistes que le Pacte de non-agression entre l'URSS et l'Allemagne était seulement un de plusieurs accords semblables conclus avec Berlin par les puissances européennes.
Avant cela, il y avait un accord entre la Pologne et l’Allemagne de 1934. En 38, a eu lieu la signature de l’accord de Munich. Il y a eu un nombre immense d’erreurs de toutes les parties. Et toutes ces actions réunies faisaient apparaitre des conditions pour le début de l'agression de l'Allemagne nazie. Mais si quelqu'un se propose comme but de chercher ses intérêts dans cette vieille histoire, culpabilisant un autre membre de ce processus, cela n’apportera rien de bon.
Les Premiers ministres de Russie et de Pologne se sont mis d'accord pour surmonter les différends et développer les relations entre les deux pays. Les commissions bilatérales spéciales s'occuperont des questions du pacte de Molotov-Ribbentrop et la tragédie de Katyn– Moscou et Varsovie leur accorderont l'accès à toutes les archives.
Donald Tusk a noté que la Pologne avait son propre point de vue sur les événements précédant le début de la Seconde guerre mondiale. Mais cela ne doit pas empêcher – et n'a pas empêché – le développement des échanges économiques. Le bilan des négociations à Sopot, ce sont des accords sur la navigation dans le golfe de Kaliningrad, sur l'importation en Russie du combustible nucléaire irradié du réacteur scientifique polonais, sur l'échange culturel. En outre, Moscou a confirmé ses engagements d'assurer définitivement les livraisons du gaz à la Pologne.
Il n'y a aucun doute que le dialogue de Moscou et Varsovie ait surmonté une certaine frontière. Selon les deux Premiers ministres, la rencontre d'aujourd'hui à Sopot – c’est un grand pas en avant.

18:29 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

RIMSKI KORSAKOV




Rimski-korsakov.doc

  Le texte est long mais intéressant. c'est pourquoi je n'ai pas pu faire un copié-collé mais  le lien  avec le word existe pour ceux que cela intéresse.

17:44 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

07/10/2009

MOUSSORGSKI ET LE GROUPE DES CINQ

Moussorgski, Modest Petrovitch

Article

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3 éléments

Plan de l'article

Présentation ; Vie ; Œuvre musicale

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Présentation

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Moussorgski, Modest Petrovitch (1839-1881), compositeur nationaliste russe comptant parmi les plus originaux et les plus influents du XIXe siècle.

2

 

Vie

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Né le 21 mars 1839, à Karevo, Moussorgski reçut ses premières leçons de piano de sa mère puis d’Anton Herke professeur au Conservatoire impérial à Saint-Pétersbourg. En 1852, il entra à l’école des Cadets de la garde impériale et écrivit la même année une partition pour piano, Porte-enseigne Polka. Son diplôme obtenu (1856), il entra au régiment de la Garde qu’il quitta en 1858 pour se consacrer à la composition.

En effet, Moussorgski avait rencontré le compositeur nationaliste russe Alexandre Dargomyjski qui l’avait introduit auprès de Balakirev et de César Cui (1835-1918), relations d’amitié qui s’étendirent à Borodine et à Rimski-Korsakov constituant ainsi un cercle qui fut plus tard appelé les Cinq. Le porte-parole de ce groupe était le critique musical Vladimir Stassov, ardent défenseur de la musique nationale russe. Ce groupe des Cinq, influencé par les compositeurs Glinka, Schumann, Berlioz, Liszt et Wagner, contribua au renouveau de la musique russe. À partir de 1863, suite à l’abolition du servage qui ruina sa famille, Moussorgski dut travailler en tant qu’employé administratif pour subvenir à ses besoins. L’insuccès que connurent ses œuvres, sa situation difficile l’incitèrent à s’adonner à l’alcoolisme. Il mourut à l’hôpital militaire de Saint-Pétersbourg le 28 mars 1881.

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Œuvre musicale

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D’un point de vue musical, Moussorgski fut essentiellement un autodidacte, si l’on excepte l’enseignement musical qu’il reçut de Mily Balakirev pour les questions de forme et de Nikolaï Rimski-Korsakov pour les problèmes d’harmonie. Ses harmonies audacieuses et peu orthodoxes s’appuyaient sur les gammes de la musique folklorique russe.

Ses chansons, qui figurent parmi les plus belles du XIXe siècle, reflètent son désir de reproduire les rythmes et les contours de la langue russe en utilisant une mélodie naturelle. Il en est de même de son chef-d’œuvre, l’opéra Boris Godounov, d’après la tragédie de l’auteur russe Alexandre Pouchkine. Terminé en 1868 et produit pour la première fois, après des modifications considérables, en 1874, cet opéra est une œuvre monumentale, inhabituelle dans son utilisation musicale et dramatique du chœur et fort admirée pour sa finesse psychologique et son évocation du peuple russe.

Beaucoup des œuvres de Moussorgski ont été revues et finalement ré-orchestrées et parfois réharmonisées par Rimski-Korsakov. Ces dernières années, de nombreux interprètes ont repris les originaux de Moussorgski.

Parmi les autres œuvres de Moussorgski figurent la suite pour piano Tableaux d’une exposition (1874, orchestrée en 1922 par le compositeur français Maurice Ravel), le poème symphonique Une nuit sur le mont Chauve (1867), les cycles de chansons la Chambre d’enfants (1872) et Chants et danses de la mort (1875) ainsi que deux opéras inachevés : Khovanchtchina, terminé par Rimski-Korsakov et la Foire de Sorotchinsky, terminé par Cui.

21:15 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)

04/10/2009

OUFA

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21:26 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)